Biographie Boris Chouvellon
Diplômé de l’École Internationale d’Art et de Recherche de la Villa Arson à Nice,
puis de l’École Supérieure des Beaux-Arts de Marseille, Il présente ses oeuvres de
façon régulière en France et à l’étranger. Ses sculptures monumentales ont été
montrées dans des expositions d’art contemporain à ciel ouvert liées au paysage
comme dans les hortillonnages, art villes et paysages, à la maison de la culture
d’Amiens. Dans l’exposition Quatre, dans les Hautes-Alpes. Lors de SAC Mari tra
le mura à la fondation Pino Pascali, à Polignano a Mare, en Italie. Ou encore au
Château d’Avignon, Se souvenir de la mer. Son travail a aussi été vu lors
d’expositions collectives, au FRAC Basse-Normandie, au Musée des Beaux Arts
de Calais, au SCVA à Norwich en Angleterre, au centre d’art Argos à Bruxelles en
Belgique, au Centre Culturel français d’Hanoï au Vietman, à Toronto au Canada
pendant agYU presents Buy-sellf, au salon de Montrouge ou encore au Mac Val à
Vitry-Sur-Seine.
En 2011 à Marseille le MAC (Musée d’Art Contemporain) lui a consacré une
exposition monographique, accompagné d’un catalogue. De 2012 à 2014 il était
résident à la cité internationale des arts à Paris. En 2014, il était finaliste des
Révélations Emerige ainsi que lauréat du 1% artistique du centre d’incendie et de
secours de la Valbarelle. En 2015 il est lauréat du prix des amis la maison rouge,
fondation Antoine de Galbert où il présente une oeuvre monumentale pour le patio
de ce lieu. La même année, une monographie Fondations, aux éditions André
Frère reprend l’ensemble de son travail. Il présente une oeuvre monumentale La
part manquante lors de l’édition 2017 du voyage à Nantes. L’hiver 2018 il séjourne
à la résidence Saint-Ange à Seyssins. En 2019 il est lauréat de la bourse Étant
donnés – FACE Foundation et et part en résidence à Los Angeles, où il présente
une exposition personnelle à la Show Gallery et réalise deux sculptures dans le
désert pour la Biennale de Bombay Beach. En 2020 il prépare une oeuvre
spécifique pour la Villa Datris, ainsi qu’une expsosion collective à Paris.
Son travail est représenté dans des collections publiques et privées